Snif, c’est le dernier jour à Cuba.
Journée scooter pour explorer les mogotes.
Elle commence bien, puisque le vendeur ambulant proposant le drapeau du Che est enfin revenu. On se précipite toute affaire cessante pour acheter la Sainte Relique.
Ensuite on parcourt, sur notre 2 roues, les environs de Vinales. Promenade frisquette vu le vent, mais pleine d’intérêt.
Le soir Ada nous mijote notre dernière langouste : dommage qu’elle ait laissé tomber la salière dans le bouillon…. Et pour courroner l’affaire, voilà qu’elle propose des mojitos aux nouveaux venus alors qu’elle n’a rien fait de tel pour nous.
Au départ du bus, on re-croise 2 français entraperçus la veille au retour de Pinar. Frigorifiés, ils filent à l’est, sauf qu’il n’y a plus de place dispo dans le bus, nous avons raflé les 2 dernières.
On envisage alors un co-voiturage en taxi lorsqu’un couple de jeunes mariés anglais, en lune de miel, nous fait part de sa déconfiture avec le bus rempli.
Discussions et in fine on part avec les english en taxi, solution qui arrange tout le monde.
Voyage épique sur l’autoroute longeant les rizières cubaines et ayant pour particularité d’y héberger voitures, piétons, charettes à cheval et vélos, sans compter les marchands ambulants et autres auto-stoppeurs.
Périodiquement des ponts sans accès enjambent l’autoroute : il était prévu qu’ils desservent des routes, mais la crise économique de 99 a stoppé là l’infrastructure. Ces ponts servent désormais d’abri ombragé pour les stoppeurs.
De curieux renforcements le long de la chaussée attirent l’attention : ce sont des parkings pour avions, l’autoroute se transformant en piste d’envol en cas de conflit.
On échange avec notre chauffeur quelques infos sur la situation de l’ile.
Le majeur problème est économique, et l’économie est liée à la politique. Et donc, diplomatiquement, notre chauffeur espère bien fort un changement économique.
En attendant il projette une année d’étude linguistique en Allemagne où il espère trouver une teutonne arrangeante pour un mariage blanc, seul sésame pour s’expatrier.
A l’aéroport, un dernier mojito en attendant l’avion…. Et en fond sonore un quatuor nous joue un « commandante ».
Hasta la revolucion, siempre !
Au duty-free, la surprise : les parfums sont au même prix qu’en France, et pour les cigarettes/cigares, y’a 11% de taxe sur la carte bleue. Encore une dernier impôt révolutionnaire
Journée scooter pour explorer les mogotes.
Elle commence bien, puisque le vendeur ambulant proposant le drapeau du Che est enfin revenu. On se précipite toute affaire cessante pour acheter la Sainte Relique.
Ensuite on parcourt, sur notre 2 roues, les environs de Vinales. Promenade frisquette vu le vent, mais pleine d’intérêt.
Le soir Ada nous mijote notre dernière langouste : dommage qu’elle ait laissé tomber la salière dans le bouillon…. Et pour courroner l’affaire, voilà qu’elle propose des mojitos aux nouveaux venus alors qu’elle n’a rien fait de tel pour nous.
Au départ du bus, on re-croise 2 français entraperçus la veille au retour de Pinar. Frigorifiés, ils filent à l’est, sauf qu’il n’y a plus de place dispo dans le bus, nous avons raflé les 2 dernières.
On envisage alors un co-voiturage en taxi lorsqu’un couple de jeunes mariés anglais, en lune de miel, nous fait part de sa déconfiture avec le bus rempli.
Discussions et in fine on part avec les english en taxi, solution qui arrange tout le monde.
Voyage épique sur l’autoroute longeant les rizières cubaines et ayant pour particularité d’y héberger voitures, piétons, charettes à cheval et vélos, sans compter les marchands ambulants et autres auto-stoppeurs.
Périodiquement des ponts sans accès enjambent l’autoroute : il était prévu qu’ils desservent des routes, mais la crise économique de 99 a stoppé là l’infrastructure. Ces ponts servent désormais d’abri ombragé pour les stoppeurs.
De curieux renforcements le long de la chaussée attirent l’attention : ce sont des parkings pour avions, l’autoroute se transformant en piste d’envol en cas de conflit.
On échange avec notre chauffeur quelques infos sur la situation de l’ile.
Le majeur problème est économique, et l’économie est liée à la politique. Et donc, diplomatiquement, notre chauffeur espère bien fort un changement économique.
En attendant il projette une année d’étude linguistique en Allemagne où il espère trouver une teutonne arrangeante pour un mariage blanc, seul sésame pour s’expatrier.
A l’aéroport, un dernier mojito en attendant l’avion…. Et en fond sonore un quatuor nous joue un « commandante ».
Hasta la revolucion, siempre !
Au duty-free, la surprise : les parfums sont au même prix qu’en France, et pour les cigarettes/cigares, y’a 11% de taxe sur la carte bleue. Encore une dernier impôt révolutionnaire
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire