mardi 20 janvier 2009

Cuba: Santiago for ever

Au lever, le ciel est d’un bleu éclatant et le soleil brille de mille feux. Yippie !
On flâne dans le cœur de Santiago : place Cespédès, quartier Tivoli et avenue Herera.
Quatre passages à l’agence Cubatur pour enfin avoir le billet de bus pour dans 4 jours. L’efficacité et la rapidité ne se conjuguent pas ensemble dans ce pays.
Visite du musée localisé dans la plus vieille maison (celle du gouverneur de l’époque) de Cuba. C’est là que les conquistadores fondaient l’or en lingots.
Marre d’être accostés tous les 50m par un cubain qui connaît bien la France, et surtout Lyon, et cherche à nous fourguer un plan foireux. Et il a le même argumentaire en anglais, allemand et italien. Désormais nous sommes bulgares, et ça, ça les laisse pantois, à court de sabir pour nous bonimenter. Afin de rendre l’affaire plus crédible, on décide de se faire un signe dans les situations nécessitant la mise en place de la nationalité bulgare : l’un dit « krosniezki boubouch » et l’autre répond « krosniezki ein cuc dac data ». Méthode testée sur un banc du square : résultat 100% efficace. On estime la probabilité de rencontrer un cubain parlant bulgare à très faible. Et même si jamais cela devait se produire, alors on dira qu’on ne parle uniquement le Rom des Carpathes.
Maintenant cette tactique peut concourir à motiver nos harceleurs à apprendre fissa quelques phrases clefs en bulgare ! A voir lors d’un éventuel prochain voyage….















































































































































































Ce matin Ondina est moins chaleureuse surtout lorsqu’arrive le moment de régler la pension : elle a arrondi d’office 116 à 120… Je veux bien soutenir l’économie cubaine, mais le prix, c’est le prix. Je réclame mes 4 cuc et elle joue, mal, celle qui a pas fait attention.
A l’arrivée à la station de bus on découvre les joies de la combine. Si tu réserves toi-même chez Viazul, tu es sur une liste d’attente. Bien. Dans notre cas, on est muni d’un billet d’Ondina accompagné d’un thermos de café et d’un sandwich ; dans ce cas, le préposé nous file derechef un billet de bus et pinga ceux qui son en liste d’attente.
A l’avenir on ne réservera pas, on achètera le billet, notamment dans les agences Cubatur qui rendent ce service gratos, où alors via la combine.
5h de bus pour traverser la Sierra Maestra par une route tortueuse qui monte à 1500m puis dévale sur Baracoa.
























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