Réveil pas trop tard, on retourne à la gare des bus et on part pour 2 fois 1 h de bus brinquebalant au confort minimaliste, direction Ayutayah, la ville sainte
Sur place on loue des vélos pour visiter le site constitué de 1000 temples et vas y que je pédale, carte en main et nez au vent..... 5 bornes plus loin force est de constater que finalement tout bien considéré c’est plutôt sens inverse qu’il fallait prendre.....
bon, on revient sur nos pas, à l’aise avec la carte toujours en main, mais c’est curieux, le temple devrait être là, sûr qu’ils l’ont changé de place, regarde, sur la carte il est là et nous si on suit le chemin depuis le début on est au même emdroit, donc si on voit pas le temple c’est qu ils l’ont changé de place, je vois pas d’autre hypothèse
on se replonge dans la carte et en fait on a commis une légère dérive vers l’est, très légère, y a juste 7 km à remonter à l’ouest, une bagatelle !
finalemeent on y arrive et on est devant ce qui fut le centre religieux thai au 17e, avec les 1000 temples dont déjà le premier contient 48 000 bouddhas.... et nous on veut en voir un, celui qui est couché, comme a Bangkok, sauf que celui là est en pierre et qu il a mille ans
au milieu des 47999 autres, on l’a cherché 1h, mais on l’a trouvé (faut dire qu il mesure quand même ses 25 bons mètres de long)
Après on va voir un temple chinois, égaré avec ses dragons, ses lampions et ses couleurs bigarées au milieu des ruines d’Ayutayah
pour le repas du soir on suit les conseils du routard et grace à eux on mange du naze de chez naze: je vais leur écrire au guide du routard, non mais
le lendemain on prend le train direction les temples kmers de l’est (à Khorat)
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